Coup d’envoi des célébrations du 20e anniversaire de la CSEM à la rentrée scolaire à l’école Pierre Elliott Trudeau
La Commission scolaire English-Montréal soulignera officiellement le 20e anniversaire de la création des commissions scolaires linguistiques au Québec lors de la première journée de classe de l’année scolaire 2018-2019 le mardi 28 août à 10 h 30, à l’école primaire Pierre Elliott Trudeau située au 6855, rue Cartier, à Rosemont.
L’école primaire Pierre Elliott Trudeau offre d’excellents programmes STIAM et de robotique. Anciennement connue sous le nom d’école primaire Francesca Cabrini, l’école a changé de nom afin d’honorer l’ex-premier ministre du Canada. Le robot Rebekka sera de la fête et revêtira un t-shirt à l’effigie du 20e anniversaire.
La publication EMSB Express renferme une section toute spéciale consacrée au 20e anniversaire des commissions scolaires linguistiques. Un logo a été créé pour l’occasion et la CSEM présentera la toute première mascotte de son histoire, Bumble Bee. De plus, nous inaugurons un tout nouveau site Web et les pages des écoles subiront bientôt elles aussi une métamorphose. Tous les événements importants, telles la Foire des carrières, la Soirée d’appréciation des bénévoles et la Conférence annuelle pour les parents, afficheront un thème en lien avec le 20e anniversaire. Il en sera de même pour les écoles et les centres.
« À l’occasion du 20e anniversaire de la création par le gouvernement québécois des commissions scolaires publiques linguistiques en remplacement des commissions scolaires confessionnelles, tous ceux et celles qui sont liés de près ou de loin à la Commission scolaire English-Montréal ont de quoi être fiers », a déclaré la présidente de la CSEM Angela Mancini.
La CSEM enregistre le taux de réussite le plus élevé, soit 88,6 %, parmi les commissions scolaires publiques anglophones à la grandeur de la province de Québec, basé sur une cohorte de sept ans. Ce résultat est d’autant plus remarquable que le taux de réussite provincial se situe à 80,1 %.
À l’école Pierre Elliott Trudeau, Jessica O’Meara figure parmi les enseignants issus de la toute première cohorte de finissants de la CSEM en 1999. Elle a fréquenté l’école primaire Francesca Cabrini avant de s’inscrire au Collège Vincent Massey pour ensuite obtenir un diplôme en éducation inclusive de l’Université McGill. C’est une expérience inspirante que d’avoir le privilège d’enseigner à l’école même où elle a fait ses études primaires.
Le 1er juillet 1998, la CSEM est née de la fusion des secteurs anglophones de l’ancienne Commission des écoles protestantes du Grand Montréal, de la Commission des écoles catholiques de Montréal, de la Commission scolaire Jérôme-Le-Royer et de la Commission scolaire Sainte-Croix. À l’époque, la nouvelle commission ainsi formée comptait plus de 25 000 élèves au secteur des jeunes et 12 000 au secteur des adultes. Deux ans plus tard, le nombre d’inscriptions aux niveaux primaire et secondaire surpassait les 27 000. Peu de temps après, le gouvernement québécois adoptait une mesure législative visant à renforcer la Loi 101. Ceci, conjugué à la situation démographique et à un taux de natalité plus faible, s’est traduit par une diminution constante de notre effectif scolaire.
« Or, nous sommes heureux de constater que, depuis quelque temps, le vent commence à tourner », souligne madame Mancini. « Nous comptons désormais 19 561 élèves aux niveaux primaire et secondaire, soit une hausse de 267 inscriptions par rapport à l’an dernier. Lorsque nous publierons notre rapport d’inscriptions pour 2018-2019 plus tard cet automne, nous prévoyons des données encore plus élevées. Quant aux secteurs de l’éducation des adultes et de la formation professionnelle, on compte plus de 23 000 élèves inscrits, soit près du double du niveau enregistré lorsque la CSEM a été créée. Forte d’un effectif global dépassant les 42 000 élèves, la CSEM demeure la plus grande commission scolaire publique anglophone au Québec.
Au cours des dernières années, nous avons lancé des campagnes promotionnelles et de marketing des plus créatives tout en déployant de grands efforts au profit de nos plateformes de médias sociaux, une stratégie qui vraisemblablement porte ses fruits.
La CSEM enregistre le taux de réussite le plus élevé, soit 88,6 %, parmi les commissions scolaires publiques anglophones à la grandeur de la province de Québec, basé sur une cohorte de sept ans. Ce résultat est d’autant plus remarquable que le taux de réussite provincial se situe à 80,1 %.
Notre mission vise à éduquer les jeunes aux niveaux primaire et secondaire tout en étant un pilier de l’apprentissage continu pour les secteurs de l’éducation des adultes et de la formation professionnelle. Nous remplissons bien cette mission. Notre travail prend véritablement tout son sens lorsque nous nous rendons dans les écoles et les centres pour assister à une Foire aux carrières ou une expo-sciences, une compétition du Festival de l’art de conter ou encore une cérémonie de remise des diplômes. »